[RP Roulette] Lost Soul

Date d'inscription : 27/07/2018

→Lost Soul←

L'isoloir, ce nom, cet endroit vous est que trop bien familier! Encore une fois, pour vous seul savez la raison, on voit envoie à l'isolement! Cependant, (à vous de choisir l'ordre) voilà qu'on vous jette dans la mauvaise cellule puisque vous n'êtes pas seul, une autre personne s'y trouve déjà....

Vous êtes bien deux dans une toute petite pièce! De plus, ce n'est pas tout vous entendez de l'eau qui coule....Bizarre, est ce que l'un des gardiens ou infirmier à oublier de fermer l'un des robinets des isolements? Vous n'espérez pas parce que plus le temps avance plus l'eau envahit l'espace! Eh oui les portes séparant l'isolement et le reste de l'hôpital sont des portes coupes feu et étanche.

Vous êtes totalement abandonné, seuls face à votre destin, il va falloir choisir, vous laissez mourir ou alors vous battre....

@Arès & @Bélial

Date d'inscription : 16/09/2019

→Lost Soul←

Ça fait longtemps qu’on ne m’avait pas envoyé à l’isolement. Je m’étais tenu à carreau dernièrement mais que voulez-vous ? Je crois que fréquenter Oz ne m’apporte pas que des avantages mais je remercierais plus tard mon acolyte. En attendant je vais passer un très long séjour seul avec mes pensées. L’occasion de réfléchir à tout ce qui m’est arrivé dernièrement et on ne peut pas dire que ma vie ait été un long fleuve tranquille. Bien sûr, je ne veux pas faire référence aux expériences qu’on nous fait subir. Je parle plutôt de ce faux homme de ménage qui est entré dans ma vie et qui semble être une sorte de fantôme de mon lointain passé. Et puis il y a ces bribes de souvenir qui me sont revenus en mémoire. Enfin je ne sais pas si on peut appeler une odeur et une mélodie, des souvenirs.

Les gardiens s’y mettent à deux pour me trainer jusqu’à une cellule qu’il ouvre avant de me jeter dedans sans ménagement. Alors que je m’attendais à rencontrer le sol dur et froid ou un mur de la même composition, j’heurte ce qui semble être un autre corps. Pas un cadavre, un corps encore tiède et surtout vivant. Un léger gémissement de surprise et de douleur m’échappe bien que je sois moins sonné que prévu.
« Bon sang… On est en surpopulation carcérale ou ils sont encore plus incompétents que d’habitude ? »
C’est la seule chose que j’adresse à cette personne avec qui je partage désormais cette cellule exigüe.

@Arès