It's you that I want - Se Jun feat Jae Min

Un soupire s’échappe de mes lèvres alors que j’ai les yeux rivés sur les nombreux médicaments disposés sur les différentes étagères qui m’entourent. La solitude. Le calme. Je savoure ces instants de répit dans ce sous-sol de l’enfer. Ma journée n’est pas été bien différente de d’habitude et pourtant, je ne me sens pas moins vidé. Toutes ces supplications, ces hurlements de douleur accompagnée de visages terrifiés, c’est bien trop difficile pour moi. Tant bien que mal, je m’efforce de tenir mon rôle, de ne rien laisser transparaître pour faire penser aux autres que je ne vois pas où se situe le problème. Que tout ceci m’indiffère grandement alors qu’en réalité, je ne désire qu’aider ces pauvres humains sans mémoires. Je maudis mon père de m’avoir envoyé ici, mais lui faire plaisir est plus important que tout.

Listant les médicaments dont j’ai besoin, je ne rêve en cet instant que d’être bipé pour une urgence. À plusieurs reprise, je regarde d’ailleurs mon bipeur en espérant avoir manqué une alerte. Malheureusement pour moi, le petit écran reste vide d’information. Nouveau soupir. N’est-ce pas terrible que j’en vienne à souhaiter un grave accident en surface pour m’échapper d’ici, afin de pouvoir m’occuper correctement de personnes qui ne sont pas considérer comme des rats de laboratoire ? J’en viens même à souhaiter que le pot de colle qui me sert de petite amie m’appelle soudainement pour me dire qu’elle souhaiter déjeuner en ma compagnie. Malheureusement, là aussi, le seul moment où je souhaite la voir, elle reste aux abonnées absentes. Déprimant. Il faut croire que mon sort est de rester ici pour la journée. Voyons cependant le côté positif de là chose, je suis seule ce qui m’octroie un peu de tranquillité. Chose rare dans ces sous-sols.

Essayant donc de me focaliser sur la tâche qui m’a été confiée et surtout, sur le fait, que pour une fois, j’ai le luxe d’être dans un endroit calme, une voix vient soudainement me faire sursauter. Quand est-il entré dans la pharmacie ? Me tournant vers l’invité inattendu, j’arque un sourcil sous ses propos plus qu’étrange. Est-il tombé sur la tête ?

-« C’est gentil Se Jun, mais je ne suis pas intéressé. »

Ma voix est calme. Posé. Légèrement tinté de froideur comme à chaque fois que je me trouve dans cet endroit. Mes propos à peine prononcé, je redirige mon attention sur les médicaments. Je ne suis pas dupe, je sais pertinemment que si ce scientifique est venu soudainement me voir sans raison, c’est qu’il a quelque chose derrière la tête. Cependant, j’espère pendant un instant quand ne lui portant aucune attention, il finira par partir. Chose, bien entendu, qu’il ne fait pas.

-« Je peux t’aider peut-être ? » Finis-je par lui demander en déviant légèrement mon regard vers sa personne.

À l’instant même où je pose ma question, je le regrette immédiatement. Non pas que j’ai peur d’un scientifique comme lui. Après tous, ils sont tous taré dans cet endroit et j’ai appris à m’y faire, mais son sourire venant étirer ses lèvres ne m’indique rien de bon. La flamme qui danse dans ses yeux traduit d’ailleurs aisément une idée malsaine qui tourne dans son esprit tordu. Bien sûr, je ne laisse rien paraître. Mon visage reste impassible. Presque de marbre alors même qu’il se rapproche, trop près à mon goût, de moi.

-« Et alors ? »

Je n’ai pas le temps de terminer ma phrase. Mon début de question à peine posé et voilà déjà que Se Jun s’empare de ma blouse pour me tirer vers lui. Mon regard, posé sur lui, est glacial alors qu’il m’ordonne presque de devenir sien. Est-il sérieux ? Croit-il vraiment que je vais accepter de travailler avec un psychopathe dans son genre ? Le rire qui s’échappe de ma gorge traduit d’ailleurs parfaitement ce que je pense de cette proposition farfelue alors que je sens la main du scientifique venir se positionner au niveau de ma nuque. Il essaye de me faire passer un message. Un message qui devint parfaitement limpide à sa nouvelle phrase. Bien évidemment, j’aurais dû me douter que cette proposition ou plutôt, cet ordre, n’était pas innocent. Se Jun devait savoir que je dirais non s’il ne venait pas avec un argument de poids. Seulement parle-t-il vraiment de ce secret ? Comment pourrait-il être au courant ?

-« Un petit secret ? Vraiment ? Lançais-je avec assurance en appuyant mes mains sur son torse pour le replacer à une distant à peu près raisonnable de moi. Je vois peut-être de quoi tu parles, mais qui me dit que tu n’es pas occupé à bluffer ? »

Après tout, avec un scientifique comme lui, rien ne me garantit qu’il n’est pas occupé à essayer de me manipuler en me racontant un mensonge. En revanche, si ce qu’il vient de me dire s’avère être vrai …. S’il a vraiment appris pour ce secret que j’essaye de cacher aux yeux de tous, la donne va complètement changer. La partie de jeu dans laquelle j’ai atterrie, va complètement changer et je crains de ne pas avoir les clés en main pour gagner.

-« Nous avons tous des secrets, cela ne veut pour autant pas dire que tu en connais la nature. »

Plus les secondes s’écoulent et plus une petite voix dans ma tête essaye de me faire comprendre que quelque chose ne semble pas aller dans ce qui est occupé à ce produit. Seulement, cette petite voix est difficilement compréhensible. Certes, j’ai un mauvais pressentiment, mais je n’arrive pas à en déterminer l’origine. Je me concentre. Essaye de la comprendre, mais peut-être aurais-je du faire cela bien avant. La fraction de seconde durant laquelle j’essaye d’analyser la situation suffi à Se Jun pour renverser totalement la situation. Sa main se referme subitement sur ma blouse, mon cerveau ordonne un lâchement de soupire, mais aucun souffle n’a le temps de se faire attendre. Mon corps se fait tirer en avant et les lèvres du scientifique se retrouve brutalement contre moi. Mon cœur manque un battement sous la surprise qui paralyse totalement mon esprit. Je ne réagis pas. Pourtant, je devrais, mais je m’étais clairement attendu à tout sauf à ça.

Ses lèvres s’écartent finalement des miennes alors que je ne réagis toujours pas. C’est finalement sa phrase qui réenclenche le mécanisme de mon cerveau en comprenant enfin où il veut en venir. Des alarmes retentissent dans ma tête alors que je repousse finalement, enfin Se Jun de moi. Mon cœur bat à tout rompre dans ma poitrine de peur que l’on ait pu nous voir. Mon regard inquiet scrute le lieu à la recherche d’un spectateur. Heureusement rien. Je reporte alors mon attention sur ce fichu scientifique.

-« Qu’est-ce que tu veux ? »

Question stupide, il me l’a clairement annoncé il a quelques minutes de cela, mais j’ai encore du mal à remettre clairement mes idées en place. Comment a-t-il su ? Que veut-il vraiment ? Quelles sont ses conditions ? Ce genre de question tourne en boucle dans ma tête alors que j’essaye de les verbaliser.

-« Tu veux que je sois ton assistant en échange de ton silence, c’est bien ça ? Mais je te connais, ça ne peut pas être aussi simple avec toi. Qu’est-ce que ton fichu cerveau a concocté ? Au point où on en est, autant mettre les choses cartes sur table. »

Je le lis clairement sur son visage, il se délecte de mes réactions et de mes expressions. Moi qui habituellement arrive à être fermé comme une huître, à ne rien montrer au boulot, je dois bien avouer que Se Jun m’a complètement déstabilisé au point d’être un vrai livre ouvert face à lui. Je sais que je dois me reprendre. Ne pas me laisser impressionner. Après tout, j’en ai connu d’autre. Ce n’est pas le seul taré qui croise ma route. Malheureusement pour moi, la différence cette fois-ci est qu’il détient un argument de taille pour me transformer en une parfaite petite marionnette. Néanmoins, ce n’est pas parce qu’il me fait du chantage, que je vais pour autant me transformer en un véritable soumis. Je ferais des efforts pour prendre sur moi, mais qu’il ne me confonde pas avec l’un de ses sujets d’expérience. Le fait d’ailleurs qu’il montre ouvertement son intérêt pour moi, alors que nous nous trouvons dans un lieu public ou du moins de passage me déplaît fortement. S’il me menace de toute révéler si je ne deviens pas son jouet, ce n’est pas pour faire ce genre de chose en dehors d’un lieu privé.

Mon côté désobéissant et râleur ne lui plaira peut-être pas, mais il devra composer avec. Je ne me prive d’ailleurs pas pour encercler ses poignets de mes mains afin qu’il arrête de jouer avec ma blouse. Son corps est déjà suffisamment prêt du mien pour qu’une personne vienne à se poser des questions, inutile donc dans rajouter avec ce genre de chose.

-« Vu ta ténacité et ton entrain à faire de mon ton jouet, je me doute clairement que tu es bien loin de te lasser de moi. Bien que cela ne m’empêchera pas d’essayer de le dégoûter de ma petite personne ou de provoquer une lassitude plus vite que prévue. Je te signale que si j’ai un secret, ce n’est pas pour l’afficher au grand jour avec tes comportements tendancieux. Tu ne me laisses pas le choix que de faire ce que tu me demandes, mais n’en profites pas pour faire n’importe quoi avec moi tant que nous ne sommes pas en privé. »

Sur ses mots, je lâche ses poignets en espérant qu’il ait compris le message. Tirant sur ma blouse pour la remettre en place, je fais un pas en arrière au cas où, l’un de nos collègues viennent à rentrer dans la pièce.

-« Encore une chose avant que l’on ne conclut ton marché … enfin …. Plutôt ton chantage …. Comment as-tu su ? »

Étrangement, en observant son sourire et en entendant son bien sûr, j’ai le sentiment que ce que souhaite ne sera pas entièrement respecté. Il a parfaitement conscience que, pour me garder gentiment à ses côtés, il ne doit pas faire n’importe quoi. Mettre en danger mon secret, revient à faire tomber son plan complètement à l’eau. Cependant, ce n’est pas pour cela qu’il restera raisonnable continuellement. Bien au contraire même. Il est d’ailleurs assez facile de le deviner rien qu’en observant ses réactions faciales.

Un soupire s’échappe de mes lèvres, alors que je sens déjà les ennuis se profiler à l’horizon. Enfin, quand j’évoque ce genre de chose, cela ne s’applique bien entendu qu’à moi, car pour Se Jun, c’est plutôt un immense plaisir et de l’amusement qui est en perspective. Nouveau soupir. Qu’elle gâchis. Un si bel homme avec une si horrible personnalité. Décidément , je n’ai vraiment pas de chance avec les hommes.

Heureusement, dans ce malheur, j’ai tout de même le luxe d’être tombé sur un psychopathe assez franc. S’il me manipule à sa guise, il ne se prive néanmoins pas pour me dire franchement les choses ou répondre à mes questionnements. Je dois bien l’avouer, c’est toujours mieux que de tomber sur un grand manipulateur. Avec intérêt et curiosité, je l’écoute donc me raconter comment mon petit secret lui a été servi tout cuit sur un plateau d’argent.

À l’entente de ses mots, je ne peux m’empêcher de me mordre la lèvre inférieure. Il est vrai que, ce soir-là, même si j’avais choisi un bar peut fréquenter et où peut de monde risquaient de me connaître, j’avais fait preuve d’imprudence. D’une très grande imprudence même. Après cette nuit, ce genre de chose ne, c’était d’ailleurs plus jamais reproduit, cependant quand bien même ses actions avaient fini par causer ma perte, je ne les regrettais nullement. Il y avait bien longtemps qu’un homme ne m’avait plus procuré autant d’effet et ma nuit avec Ren restera certainement graver encore un long moment dans ma mémoire.

-« Je vois… » lâchais-je défaitiste alors que le rire de Se Jun vient à raison dans la pièce. En voyant cela, je ne m’étonne plus vraiment qu’il ait soudain porté un intérêt tout particulier pour ma personne. En revanche, je ne comprends pas pourquoi il a mis autant de temps à se servir de cette histoire. Après tout, cette nuit, commence à dater, alors pourquoi lui refaire faire surface que maintenant ?

-« Je ne suis pas du genre à poser des lapins ne t’en fais pas, dis-je finalement après qu’il ait à nouveau posé ses lèvres sur les miennes. En revanche, je tiens à te rappeler que je suis également étudiant en médecine. Tu sais, dans l’hôpital qui se trouve juste au-dessus de ta petite tête, donc garde bien à l’esprit qui je n’ai que très peu de temps libre. »

Bien que je doute sincèrement qu’il tienne compte de ce fait, au moins les choses ont été cadré. À présent, je n’avais plus qu’à gentiment faire ce qu’il me demandait, à savoir dans ce cas-ci , passer dans son bureau pour une petite entrevue.

-« Je peux finir mon listing plus tard, ce n’est pas bien passionnant de toute manière et bizarrement, j’ai comme le sentiment que tu vas me proposer quelques choses de bien plus intéressant à tes yeux. Je précise bien à ses yeux, car au mien, pas sûr que cela soit la même histoire. Alors, on bouge ? À moins bien sûr que ta petite tête de psychopathe ait besoin de temps pour planifier ce que tu vas me réserver. »

Je lève les yeux au ciel, en l’écoutant me dire que, finalement, je me prends au jeu. Ce n’est de toute façon pas vraiment comme s’il me laissait le choix. Je dirais plutôt que je suis résigné rien de plus. Se Jun a par ailleurs la chance d’être tombé sur un homme qui a l’habitude de ne pas faire ce qui lui plait. Durant toute ma vie, j’ai toujours exécuté la moindre volonté de mon paternel sans tenir compte de mes propres envies, faire exactement la même chose avec un scientifique complètement fou et pervers ne sera donc pas bien différent. Au final, la seule chose qui diffèrera, sera les ordres qu’il me donnera.

-«  Je suis surtout impatient d’en finir avec tes petites envies. » Soupirais-je avant de mettre les mains dans les poches de ma blouse blanche.

Ensuite ….. eh bien je le suis. Ai-je d’autre choix de toute manière ? Néanmoins, il ne faut pas s’attendre à ce que je marche avec enthousiasme.  Me plaçant derrière lui, mon regard fixe son dos alors que je marche d’une allure peu motivée jusqu’à son antre. Mes lèvres restent d’ailleurs close jusqu’à ce que nous arrivions finalement à destination. Là, ma comparaison entre un antre et sa pièce privée prend alors tout son sens. Lugubre, parfaitement à son image. Mon regard détails les nombreux vivariums alors que je pénètre plus en avant dans la pièce.

-« Charmant comme décoration … »

De l’ironie ? Peut-être un peu. Pour le coup, je m’estime surtout heureux que cela ne soit que des serpents. A observé, c’est déjà bien plus agréable qu’une bestiole avec de nombreuses pattes velues. Je peux même dire que si Se Jun avait une soudaine envie de jouer avec l’un de ses reptiles en ma compagnie, cela ne me dérangerait pas plus que ça.

-«  Je comprends mieux pourquoi certains cobayes ont la frousse de venir jusqu’ici. Dis-je avant de l’entendre me déblatérer une tonne de nouvelles demandes. Nouveau soupire, il ne changera pas. Tu ne veux pas non plus m’implanter un traqueur GPS tant que tu y es ? Non parce qu’à ce stade-là, on en est franchement pas loin. Je te donnerai tout ça , si ça peut te contenter, tu n’as cas me donner ton numéro et je t’enverrais les informations. Cela dit, je tiens à te préciser que je n’habite pas seul. Outre le fait que ma petite amie, s’invite de temps à autre, j’ai ma jumelle et une employée d’ici qui vivent avec moi. »

Je préfère directement lui dire avant qu’il ne se fasse des idées. Honnêtement, je n’ai absolument pas la moindre envie qu’il se point à l’improviste chez moi pour faire je ne sais quoi. Bien qu’à mon sens, je suis sûr qu’avoir des spectatrices ne le dérange pas le moins du monde.

-«  Ma jumelle ne sait rien de ce labo, du moins c’est ce que je crois, alors évite de faire n’importe quoi en te pointant chez moi. Mon semblant d’ordre donné, je jette un nouveau coup d’œil dans la pièce. Et maintenant ? Je me mets à quatre pattes tous de suite où on attend encore un peu ? »

Se Jun a en effet, intérêt à tenir sa langue concernant le labo, mais le connaissant, je préfère me méfier. Après tout, il serait bien du genre à faire quelques petites allusions, que moi seule pourrait comprendre, devant ma sœur. Surtout que, sachant que même s’il viendrait à faire une boulette, il pourrait toujours s’arranger avec mon paternel pour faire en sorte que Kailani tienne convenablement sa langue à son tour et entre nous, ma jumelle à déjà assez de problème avec notre père pour en rajouter une couche.

Ne voulant cependant pas m’attarder sur le sujet, je m’abstiens de faire un commentaire supplémentaire. Dans un premier temps, parce que je n’ai pas envie qu’il s’intéresse outre mesure à la jeune femme et ensuite, et surtout, parce que j’aspire à retrouver rapidement ma liberté pour aujourd’hui.

Rapidement, je lui fais donc comprendre que j’aimerais qu’il en finisse rapidement. Non pas comme moi, j’aime, mais comme j’imagine que lui aime prendre son pied. Seulement bien entendu, il suffit de cette simple phrase pour que Se Jun retourne la situation de façon à m’irriter. Son rire m’irise déjà le poil, mais il faut qu’en plus de cela qu’il m’attire à lui en s’emparant de ma chemise. Par chance, il ne me laisse pas le temps de lui dire que s’il désire un chien à ses côtés, c’est plutôt lui qui aimera me prendre comme le chien qu’il veut visiblement que je sois. Coupant par son rire, toute possibilité de répondre, je le laisse me lâcher pour me donner son premier ordre. Du thé ? Sérieusement ?

-« Je sais comment faire du thé ne t’en fais pas. Lui répondis-je froidement. Je te signal , que j’ai vécu pendant un long moment seul, je sais donc faire ce genre de chose. »

L’envie de cracher dans sa tasse me passe bien sûr par l’esprit, mais je préfère me tenir à carreau pour le moment. Après tout, même si je sais ce dont il est capable avec les cobayes, je ne sais pas encore quels sont ses tolérances vis-à-vis de moi. Pour le moment, je préfère avancer prudemment et jogger ses réactions petit à petit.

-« Ma sœur est au courant oui. Lui répondis-je tout en préparant sa fameuse tasse de thé. C’est d’ailleurs la seule personne dans ma famille qui aime ce côté-là de ma personnalité. Ou du moins qui est susceptible de l’aimer puisque les autres, ne sont pas au courant. Si le but de ta question était de savoir si tu pourrais me faire chanter avec elle, c’est rater. Enchainais-je tout en lui apportant finalement son thé et ses biscuits. Monsieur est servi. Alors ? Satisfait ? Dois-je venir en tenu de servant la prochaine fois ?»