Autopsia ✘ Ft. Ja Na Yeong

Autopsia

Installé sur la chaise dans son laboratoire, Tae Min regardait parfois l’heure tout en lisant attentivement son ouvrage sur la régénération des cellules mortes. C’était loin d’être la première fois qu’il le lisait. Il avait prévu d’utiliser un corps se trouvant à la morgue pour se faire. Il ne se prenait pas pour Victor Frankenstein mais il voulait voir pour éviter qu’une cellule vieillisse. Finalement, son téléphone sonna, lui indiquant qu’il était temps pour lui d’y aller. Il se dirigea vers la morgue après avoir quand même fumé une cigarette – il avait prévu de le faire – et y retrouva une infirmière. « Seo Tae Min. Allons-y, j’espère que vous avez le cœur bien accroché et l’estomac assez solide pour m’assister correctement. » Dit-il en ajustant sa blouse avant de tendre un masque à la jeune femme. « Normalement, il ne devrait pas y avoir d’odeur trop forte comme les corps sont bien conservé au frais et que la température permettra de garder cette conservation mais si vous préférez éviter une mauvaise surprise… » Il haussa les épaules, lui laissant le soin de décider avant d’entrer. Le corps était déjà mis sur la table d’opération alors ils n’avaient plus qu’à commencer l’autopsie. Il avisa les outils pour prendre le crayon et commencer à faire des petits traits pour délimiter là où il comptait découper la peau. « Vous avez déjà autopsié un corps ou c’est la première fois ? » Demanda-t-il en continuant son travail.

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Autopsia

Seo Tae Min & Na Yeong

Debout devant ce corps, je ne peux m'empêcher de songer que je déteste vraiment les gens qui ont fait ça à ce pauvre être humain. Il n'avait rien demandé, rien souhaité, hormis peut-être une chose, être loin de cette enfer. Un faible soupire émane de mes lèvres. Il y a des jours, où je voudrais vraiment être n'importe où qu'ici. Devoir préparer ce pauvre petit corps sans vie, bientôt à la merci d'un nouveau psychopathe, me rend malade. Même dans la mort, ils ne peuvent pas les laisser en paix. Cela me dégoute. Me répugne. Ils mériteraient que l'on leur réserve le même sort. Voir pire.

Je suis une femme douce et gentille, mais j'ai également mes propres limites. Il y a un seuil à ne pas dépasser et la torture d'être humain innocent en fait partie. Rien que l'idée que cela puisse être mon cher et tendre qui puisse être à la place de ce corps me terrifie. D'autant plus que je sais que, avec son caractère de cobaye rebelle, il n'est pas à l’abri qu'un jour, un scientifique veuille se venger de sa rébellion à outrance.

Nouveau soupire. L'heure fatidique n'est pas loin d'arriver. Je ne comprends d'ailleurs toujours pas, pourquoi c'est moi que ce taré à choisi. Est-ce parce que j'ai été la première infirmière à croiser son regard ? Est-ce que parce que ma réputation de gentille petite infirmière docile me précède ? Quoi qu'il en soit, j'aurais bien aimé que ce choix s'arrête sur un autre de mes collègues. Ce n'est pas comme s'il n'y avait personne qui prendrait plaisir à ce genre de chose. Des psychopathes parmi nous, il y en a aussi. Je ne comprends d'ailleurs pas bien comment cela peut aller de pair avec la fonction de soignant, mais soit.

Le scientifique ne va pas tarder à arriver. Regagnant l'extérieure de la morgue, je n'attends finalement que quelque seconde avant de le voir arriver dans ma direction. Comme à mon habitude, un sourire orne mes lèvres, bien que je n'en pense pas moi. Fort heureusement pour moi, le fond de ma pensée ne peut jamais se lire sur mon visage. Je le laisse venir à mes côtés, tandis qu'il fait soudain mention de la ténacité de mes organes. Un bonjour ne lui aurait rien couté.

-" Ne vous en faites pas pour cela, je serais vous assister correctement sans aucune difficulté."

Que pense-t-il sérieusement ? Des atrocités ici, j'en ai déjà vu par millier. Dois-je lui rappeler qu'une fois leur boucherie terminer, c'est nous qui sommes chargé de réparer les dégâts ? Honnêtement, il a bien de la chance que je sois habitué à suivre des ordres, sans jamais rien dire. Gardant mon sourire sur mes lèvres, je ne préfère pas en rajouter en m'empare du masque qu'il vient à me tendre avant de retourner dans la morgue où nous attend le corps.

-"Ce n'est pas ma première fois. J'ai toutes les qualifications requissent pour ce genre de chose donc n'hésitez pas à me solliciter dans vos démarches."

Encore une fois, ce n'est pas comme si un scientifique n'étais jamais venu me voir furieux parce qu'il ne comprenait pas la cause de la mort de son cobaye et qu'il voulait des explications. Ce n'est pas vraiment mon travail, mais face à certain, je ne préfère pas leur rappeler en quoi consiste réellement ma fonction.

-"Par quoi voulez-vous que je commence ?" Le questionnais-je innocemment. Après tout, je ne le connais pas personnellement, je suis donc incapable de dire si c'est le genre d'homme à ne pas supporter que l'on interfère dans son travail ou si, au contraire, c'est un gros fainéant qui profite aisément de l'aide que je peux lui apporter, pour me laisser tout le travail.

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Autopsia

@Ja Na Yeong ✘ @Seo Tae Min

Faire des prélèvements sur les morts n’était pas une chose qui dégoûtait Tae Min. La mort faisait partie de la vie et les médecins légistes avaient leur place dans ce système afin de faire des analyses parce que, oui, il doutait qu’ils ne fassent que des recherches. Par ailleurs, un être vivant restait un être vivant alors rien l’empêcher de réaliser son métier sur lui ou même sur quelqu’un d’autre. La science était bien plus importante puis qu’est-ce que c’étaient quelques vies sacrifiées si des milliards de vies pouvaient être sauvées… En espérant que celles-ci en vaillent la peine. Il arriva assez rapidement devant la morgue, se présentant à l’infirmière sans bonjour ou même autre trace de politesse, perdant rarement son temps avec ce qu’il pensait être des banalités sans nom. Il détestait l’hypocrisie, il n’était pas du tout le genre de personne à en faire preuve. Il avait perdu tout envie de se lier à d’autres êtres humains depuis bien trop longtemps. La jeune femme lui assura qu’elle saura l’assister sans problème. Une bonne chose parce qu’il détestait que son travail soit détruit parce que certains étaient incompétents. « Très bien, je compte sur vous dans ce cas mademoiselle… » Il ne lui faisait pas confiance alors il n’utiliserait pas ce mot à voix haute, ni avec elle, ni avec quelqu’un d’autre d’ailleurs. Il n’était d’ailleurs jamais vraiment partant pour travailler avec une autre personne mais parfois il n’avait pas trop le choix pour pouvoir avancer sur ses recherches ou même réaliser une opération. Il était compétant mais ce n’était pas un surhomme quand même et savait très bien faire la part des choses quand il le voulait bien. Il la laissa prendre le masque, lui demandant si elle avait déjà procédé à une autopsie par le passé, sa réponse lui arracha un sourire satisfait alors qu’il commençait à dessiner des lignes sur le corps pour savoir où il devait ouvrir. « C’est une bonne chose ce que vous me dites là, je sais que ça m’aurait plutôt soulé de me retrouver avec un débutant… Certains de vos collègues n’ont pas le cœur très accroché. » Dit-il en entourant la zone du cœur. Il prit ensuite le scalpel plutôt que le demander à ‘infirmière. « Préparez une pince ainsi que les ciseaux. Après vous préparerez une éprouvette glace pour que je puisse y mettre ce que j’aurai prélevé, s’il vous plait. Je les mettrai au frais après. » Il commença à ouvrir la zone où se trouvait l’estomac tout en restant minutieux. Certes, cet homme était mort mais il faisait toujours du travail bien fait. « Vous savez de quoi ce cobaye est mort, ou pas du tout ? » Demanda-t-il avant de prendre les pinces ainsi que les ciseaux pour prélever un morceau d’intestin mais aussi un morceau d’estomac, ayant prévu de faire ça pour beaucoup d’organes. « Vous préférez que je vous appelle comment d’ailleurs, hm ? » Demanda-t-il en se penchant sur le corps pour couper au bon endroit.

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Autopsia

Seo Tae Min & Na Yeong

Une chose est sure, ce scientifique semble ravi de mes réponses. À moins que cela soit le sourire d'un sadique qui va se faire une joie de me prouver qu'au final, je ne suis pas du tout qualifiée pour ce genre de chose. Je ne le connais pas, mais j'ai pourtant la sensation qu'il n'est pas de ce genre-là. Certainement que cela vient de sa manière de me parler et surtout des mots qu'il a employé pour me manifester son contentement de se retrouver avec une personne professionnelle.

Il est vrai, que parmi les infirmiers et infirmières, on se demande parfois ce que certain font parmi nous. Bien entendu, je suis loin de les blâmer, car je peux aisément comprendre leur état d'âme. Néanmoins, cela n'empêche que nous sommes ici pour faire correctement un travail qui nous est demandées. Je comprends l'atrocité de nos taches, mais selon moi, il serait bien plus dangereux de ne pas bosser correctement, que de n'en penser pas moins, mais ne rien montrer. En somme, un peu, comme je fais constamment chaque jour depuis que je suis ici.

-" Ne vous en faites pas, j'ai été formé parmi les meilleurs ici. Je ne suis pas le genre d'infirmière à me planquer dans mon infirmerie afin d'éviter ce genre de travail."

Et je dis ça par connaissance de cause. Nombreuses sont les fois où j'en ai vu certains s'enfermer dans leur infirmerie pour éviter de croiser des cas trop graves. Stupide. Tous simplement stupide. Que s'attendaient-ils à trouver en arrivant ici ?

-" Pas de problème, je m'occupe de ça immédiatement. Lançais-je tout en me mettant directement en action. Officiellement, il est mort d'une hémorragie interne, mais je ne sais pas en quoi consistait les expériences pratiquées sur lui. Bien souvent, les morts réels ne sont pas relayés à de petits employés comme moi."

C'est d'ailleurs aussi pour cela que j'ai perdu bons nombres de cobayes entre mes mains. Ces tarés font tellement de choses aberrante sur ses pauvres humains sans mémoires que bien souvent, ils ne jugent pas utile de nous informer de toutes leurs pratiques. Alors bien entendu, quand il y a une catastrophe et que c'est à nous de sauver les meubles, on fini par perdre la bataille par manque d'information.

-"Honnêtement, c'est comme vous préférez. Beaucoup de scientifiques, ici préfèrent le vouvoiement, mais si vous préférez m'appeler par mon prénom, cela me convient parfaitement." Répondis-je tout en lui tendant le récipient pour qu'il puisse y disposer les organes prélevés.

Il faut dire aussi qu'il y en a tellement qui se pense supérieur à nous, qu'il est bien rare que l'on se mette à dire mon prénom. Cela reviendrait à me considérer comme une collègue. Comme une personne égale à eux et ça, c'est bien souvent inenvisageable .... Comme pour ce connard de Min Jae qui a fini par disparaître du jour au lendemain.

-" En tous cas, j'admire votre technique. Vous faites preuve d'une grande délicatesse, j'ai rarement vu ça chez vos collègues."

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@Ja Na Yeong ✘ @Seo Tae Min

Si Tae Min n’était pas très sociable, il savait composer avec les autres si c’était pour le travail sans forcément faire des efforts. La cordialité était une chose qu’il essayait d’appliquer même s’il pouvait sourire, cela n’était pas par sympathie. Il voulait juste que le travail soit bien fait, il détestait les personnes qui manquaient de professionnalisme ou qui ne faisait pas ce qu’on pouvait leur demander. S’il travaillait ici c’était pour avoir droit aux personnes les plus qualifiés pour mettre au point ce fameux vaccin. Cependant, il n’en restait pas moins sadique, aimant voir des cobayes souffrir alors qu’il faisait des expériences sur eux. Il fallait souffrir pour avoir des résultats. Certains cobayes survivaient, d’autres mourraient et se trouvaient donc dans la morgue. Il était satisfait de que cette infirmière lui disait. Elle avait l’air d’avoir toutes les qualités requises pour ce qu’il comptait faire dans cet endroit : une autopsie. « C’est ce qu’on attend de vous je pense si jamais un cobaye a un problème dû à une expérience ou s’il se blesse… Mais je ne vous ai pas demandé votre CV non plus. » Dit-il par rapport au fait qu’elle soulignait avoir été formé parmi les meilleurs. Il n’attendait pas ce genre de détail, se fichant bien des formations tant que les résultats étaient là. Il avait déjà travaillé avec des personnes soi-disant bien qualifiés pour finalement se rendre compte qu’ils étaient incompétents. Le scientifique lui demanda des informations sur le mort qu’il allait autopsier pour faire des expériences après. Il fronça le nez en entendant ce qu’elle disait. En dehors de l’hémorragie, la cause de la mort était donc inconnue ? « Pourtant cela pourrait être utile de le marquer dans le dossier pour qu’on sache quoi faire ou non ou même pour les expériences post mortem mais bon. On va s’adapter, comme toujours. Il est mort quand ? » Demanda-t-il avec un soupir avant de se concentrer sur ce qu’il faisait pour faire un travail propre. Il était perfectionniste, voire même un peu trop. Il prit un morceau d’intestin mais aussi d’estomac. Il passa sa langue sur ses lèvres pour les humidifier. Il aurait besoin de ses lunettes après. Voulant poser un nom sur son visage… Ou plutôt pouvoir l’appeler plus facilement. Il récupéra le récipient pour y mettre les organes prélevés. Il retira ses gants pour mettre ses lunettes avant de mettre une nouvelle paire. « Pour cela j’aurais besoin de connaître votre nom ou votre prénom, Mademoiselle l’infirmière. Sauf Infirmière Hey Toi vous convient. » Demanda-t-il avec un sourire en coin. Il regarda l’intérieur du corps à l’air des pinces pour voir ce qu’il pouvait récupérer. Il haussa un sourcil à sa remarque tout en continuant son observation. « J’aime le travail bien effectué, quitte à être psychorigide. Certains sont là que pour le plaisir de faire souffrir les cobayes, même des rats ils les traiteraient mieux. Un humain ou un rat, les deux se valent. » Après tout, on ne disait pas un rat de bibliothèque ou un rat de laboratoire sans raison. Il finit par reprendre son scalpel, coupant sur les pointillés dessinés plus tôt pour récupérer un morceau de foie. « Ce n’est pas frustrant d’être infirmière dans ce genre d’endroit ? » Après tout, elle avait dû faire des études pour sauver des vie alors qu’ici, elle n’avait pas l’occasion de décider de la vie ou de la mort d’un cobaye…

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Seo Tae Min & Na Yeong

Si je pensais commencer à développer une certaine complicité et envisager qu’il puisse me considérer comme mon égal, ce scientifique ne tarde pas à me rappeler à l’ordre. Oh bien sûr, pas vraiment de façon méprisante comme certains savent le faire, mais suffisamment pour que je n’oublie pas où est ma place et que je ne peux pas n’ont plus parler de façon libérée en sa compagnie.

-« Vous avez raison. »

Simple phrase. Simple marque d’accord, même si je ne le pense pas vraiment. Depuis que je suis née, j’ai appris à agir ainsi avec la famille Kang, je n’ai donc aucune difficulté à en faire de même avec lui. Cela ne veut pour autant pas dire que j’ai aimé sa façon de me parler. J’ai simplement répondu à sa question, mais visiblement, j’en avais déjà trop dit à son goût. J’aurais pu lui faire une remarque à ce sujet, mais rien ne sert de montrer dans les tours. Ce n’est de toute façon pas comme cela que j’ai été élevée.

Gardant donc mes réflexions pour moi, j’enchaîne sans m’attarder d’avantage sur le sujet. Répondant à ses questions du mieux que je peux avec les informations que je possède. Néanmoins, je dois m’empêcher de sourire en l’entendant faire une remarque sur le manque de données présent dans le dossier. Bienvenue dans le monde de vos collègues, songeais-je en me retenant de lui dire que ce n’est pas à moi qu’il devrait dire ce genre de chose. Depuis le temps que je fais ce genre de remarque, ce n’est pas moi qu’il faut essayer de convertir à cette idée. Malheureusement, la parole d’une infirmière n’a que très peu de poids ici.

-« Sa mort remonte à il y a trois jours. » Répondis-je sans en dire d’avantage, le laissant se concentrer sur ses manipulations, bien qu’une fois encore, je n’en pense pas moins. Rouvrant les lèvres qu’une fois qu’il s’adresse une nouvelle fois à moi. Ah oui, je ne me suis pas présenté veuillez m’excuser. Je me prénomme Na Yeong. Ja Na Yeong. »

Bon, il faut dire aussi que je suis tellement habitué à ce que l’on me traite comme une loque, que l’idée même que mon prénom puisse l’intéressé ne m’a absolument pas traversé l’esprit. Au moins, parmi les scientifiques, il y en a encore qui reste un minimum poli et courtois. J’apprécie d’ailleurs le fait qu’il travail de façon méticuleuse et non pas comme un boucher. Je préfère largement passer cinq heures dans cet endroit parce qu’il prend son temps plutôt que l’inverse. Bien que je me permets de douter qu’il ne fasse pas partie de la catégorie des gens qui aime voir souffrir.

-« Il est vrai que cet endroit, va un peu à l’encontre de ma profession, répondis-je tout en mesurant mes propos pour ne pas en dire trop sur ma façon de penser. Néanmoins, je pense qu’il n’y a pas d'autres endroits sur terre, où un être humain à besoin d’autant de soin. Et le travail d’une infirmière est de soigner, n’est-ce pas ? »

Bien sûr, je préfère largement mon travail à l’hôpital, mais ce n’est pas non plus comme si j’avais eu le choix. Je n’ai déjà pas vraiment eu le choix sur mes études. De base, j’étais destiné à vivre éternellement comme domestique, je ne pouvais donc pas refuser l’offre généreuse de mon employeur de m’offrir des études et de le servir autrement que tous les jours à la maison.

Cela dit, évidemment que je hurle de rage intérieurement quand un scientifique vient démolir mes soins seulement deux minutes après que je les aie prodigué. Bien entendu, que je préfère exercer ma fonction dans un endroit où nous sommes tous sur la même longueur d’onde, mais selon moi, il vaut mieux ne pas trop y songer. Pour le bien de notre santé mentale.

-« Par ailleurs, n’hésitez pas à me dire si ma question est déplacée, mais qu’est-ce qui vous a poussé à venir faire ce genre d’emplois ? »

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