Can you hear my heart? It has a melody to fill you up; Don’t lose the light in the darkness; Hold my hand tight.
Style La lune était bien haute, bien ancrée dans le ciel, imposant son règne à tout les habitants de Séoul qui sortaient de soirée ou qui continuaient simplement leur folle nuit de débauche. Nous retrouvons Ivy qui, quand à elle, n'était en reste puisqu'elle sortait tout juste d'une soirée avec ses deux meilleures amies. Elles avaient passées la soirée dans un bar afin de se détendre et oublier les tracas du boulot et surtout du secret lab. Eh oui même les meilleures scientifiques et les plus cruelles devaient également s'amusaient, avoir l'esprit légers loin de tout hurlement, de toute froideur. Une soirée qui s'était divinement bien passé et qui avait rendu tout simplement la jeune femme. Cela faisait bien longtemps qu'elle n'avait pas passé une soirée avec ses deux meilleures amies ni même passé une soirée en dehors du labo ou de chez elle.
Musique à fond, fenêtre légèrement ouverte Ivy roulait en direction de son loft. Elle n'avait pas bu, du moins un seul verre pendant qu'elle dînait avec ses deux amies, eh oui la jeune restait assez raisonnable surtout lorsqu'il s'agissait de prendre le volant après une soirée. La demoiselle pouvait se montrer totalement imprudente lorsqu'elle roulait seule sur des routes de montagnes ou campagnardes en roulant à pleine vitesse mais en ville cette dernière respectait le code de la route. Attendant que le feu passe au vert elle observait, non loin d'elle et de sa mustang bleutée, le grand palais de Séoul, le 경복궁. Elle adorait ce palais, il était l'un de ses préférait ici dans la capitale du matin calme. La lumière verte du feu la sortit de ses pensées, de sa rêverie. Elle enclencha la première et se mit en route....Cependant une chose incongrue,incontrôlable et inévitable se produisit sans même qu'Ivy ne puisse réagir.
Un énorme BOOM retentit. S'en suit un énorme fracas et la mustang d'Ivy se retrouva encastré, entre un lampadaire et le pickup qui lui ai rentré dedans. Comment cela a-t-il bien pu se passer? La jeune femme est bel et bien parti au moment où le feu était au vert. Sauf que l'autre conducteur, bien trop alcoolisé, bien trop fatigué pour prendre le volant, roulait beaucoup trop vite et n'a pas remarqué que son feu à lui était rouge et il fonça à plein vitesse et s'engouffra dans ce carrefour où Ivy venait de s'engager. Là, la voiture de ce dernier vint alors percuté violemment celle de la jeune généticienne. Le crash fut assez violent, on peut le constater en voyant l'état de la voiture d'Ivy.
Un goût de fer dans la bouche, sonnée, et ayant mal partout Ivy divaguait, voyait complètement flou, et avait la tête qui tourne. Elle avait mal, extrêmement mal, tout son corps la faisait souffrir. Cela faisait bien longtemps, des décennies qu'elle n'avait pas autant souffert. La seule chose que la jeune femme se souvint était la voix d'un homme et elle sombra.
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Style Adossé à un mur de brique. La clope qui illumine mon visage dès que je prends une inspiration. La main dans la poche, nonchalant. J’attends patiemment que mes hommes de mains finissent leur travail. Tabasser une petite taupe qui commençait à faire du grabuge et me vendait littéralement à mes adversaires. Je leur laisse en charger car je n’ai pas envie de me salir les mains cette fois. Une belle chemise que je porte, c’est hors de question que je vais la salir avec des éclaboussures de sang ou bien de la salive. Et puis, cet homme ne m’a pas fait assez chier pour que je me défoule sur lui. Je n’ai pas perdu d’argent et encore, je savais pertinemment qu’il était louche depuis quelques temps. Pourquoi je dis cela ? Ce n’est pas un normal que mes hommes de mains ne me regardent pas dans les yeux, qu’ils soient absents pour des raisons que je ne connaisse pas et encore qu’il ait voir ailleurs des personnes que personnellement je ne côtoie pas. La méfiance est de mise lorsque nous sommes dans la mafia. Beaucoup veulent être tes alliés, mais la majorité est ton ennemi. Une expiration, je regarde les alentours en saluant de signe de tête les quelques passants qui osent me croiser. Un rictus moqueur s’affiche faisant apparaître mes fossettes. J’entends les gémissements de douleur et les coups qu’ils se donnent non loin de moi dans une ruelle qui sonne légèrement écho. Je regarde l’heure de ma montre sur mon poignet avant de continuer d’attendre. Cela fait quelques temps que ça dure et pourtant, rien ne se passe.
Je me redresse en écrasant ma clope sur le sol pour l’écraser pour m’en aller nonchalamment dans la ruelle. Voyant l’homme dans un sale état. Je grimace d’horreur en voyant sa gueule. Le pauvre, je le plains quasiment. Je ne le reconnais tout simplement pas. Faisant signe à mes hommes d’arrêter, je m’accroupis devant le tabassé en question. Va-t-il me révéler ce que je veux entendre ou pas ? Non ? Je prends le flingue de mon employé en mettant son silencieux pour ne pas attirer davantage l’attention ici. Déjà qu’il fait nuit. La lune est dans le ciel, éclaire légèrement les ténèbres de ma cachette du moment tandis que les lampadaires montrent timidement leur nez. Je soupire quand j’ai fini de mettre le silencieux. Je tire sur le pied en premier pour donner un dernier avertissement. Une chance que cette personne était intelligente. Qu’il me balance tout dans les moindres détails. Quand j’ai été satisfait, je lui tire en plein tête avant de donner l’arme à un de mes disciples et de faire signe que finalement, cette histoire est belle et bien terminée. Je ne déconne pas que ce sont mes affaires. On ne me vend pas à n’importe qui, on ne s’attaque tout simplement pas à moi. Ainsi, je retourne mes talons en allant marcher sur le trottoir. Ce que j’aime en particulier, c’est que la plupart du temps je passe incognito. Marchant parmi la foule, j’entends des belles et des pas mûres bien souvent. Ne vous en faites pas, je suis régulièrement suivi.
Toutefois, des freins se faire entendre à l’intersection. Tout le monde se tourne en cette direction lorsque je vois la belle mustang se faire anéantir par un pickup noir. Un accident digne de ce nom et pourtant personne ne fait rien. Je fronce les sourcils en regardant de gauche à droite et de droite à gauche. Tout le monde s’est arrêté. Je fais signe à mes hommes d’appeler les urgences immédiatement le temps que je vais voir les blessés. Le mec, je me fiche littéralement car c’est lui le fautif. Il peut crever. Cependant, la nana, je regarde son état. Elle divague, elle souffre. « Reste éveiller ! » Fiche en m’accroupissant à ses côtés pour garder son cou droit. Les mains de chaque côté de sa tête pour la maintenir pour ne pas qu’elle s’aggrave. J’attends patiemment que les secours viennent. Un parrain qui sauve des vies, est-ce pathétique ? Pour une jolie demoiselle, je ferai tout, mais pour un homme tel que l’autre, je m’en balance. J’entends les sirènes au loin. Ça s’approche de nous assez rapidement. Je tente de vérifier si elle n’a pas d’hémorragie ou quoi que ce soit qui puisse mettre sa vie en danger. Pour le moment non. Ça semble uniquement sa tête.
Les secours arrivent et prennent rapidement les blessés en charge. Je suis la ravissante femme pour lui tenir compagnie, mais pour aussi contacter ses amies ou famille pour ne pas qu’ils s’inquiètent. Malheureusement, je n’ai aucunement pas le code de son portable. À l’hôpital, je suis assis dans le fauteuil en attendant qu’elle revient dans les soins intensifs. Attendant patiemment en parcourant le net de tout et de rien et en répondant à quelques appels venant de mes sous-fifres. Dès qu’elle fut sortie, je suis resté à son chevet en attendant qu’elle se réveille, malgré que le médecin désire me voir pour lui parler de son cas. Je le suis de ce pas en croisant les bras. Espérant que ça soit des bonnes nouvelles.
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Style En un éclair, en une fraction de seconde la vie de la jeune scientifique défila devant ses yeux et bascula. Comment les choses venaient de se passer elle ne l'avait absolument pas compris ni même vu venir. Qui aurait pu prédire un tel accident, un tel choc. La voix d'un jeune homme lui fit gardé les pieds sur terre. Elle ne savait ni qui il était ni même à quoi il ressemblait mais elle lui était très reconnaissante d'être venue l'aider. Si elle s'en sortait elle ferait tout ce qui est en son possible pour le retrouver et le remercier comme il se doit. Puisque c'est sûrement grâce à lui si elle arrive à survivre à cet accident. Restes éveiller sont les derniers mots qu'elle entendit avant de totalement sombrer. Pourtant elle avait essayer de lutter contre le sommeil, contre la douleur mais ils avaient été plus fort qu'elle. Cette douleur était si présente, si intense qu'elle avait fini par la faire sombrer pour ne plus qu'elle ressente cette dernière, qu'elle soit apaisée.
Un trou noir, tout ce qui venait de se passer avait été comme effacé. La jeune femme essaya d'ouvrir les yeux, difficilement, elle avait également du mal à se mouvoir. Son corps endolorie, courbaturer et surtout branché de tout les côtés. Elle avait mal certes mais elle savait que ça passerait. Sa vision était flou, surement du à la légère commotion cérébrale qu'elle avait eu à la suite de l'accident. Elle entendait des voix en dehors de sa chambre, elle supposa que c'était les médecins cependant une voix l'interpella, cette voix ne lui était absolument pas inconnue. Bien évidemment, après quelques minutes d'intense réflexion, elle se souvint que c'était cette même voix qui avait essayé de la tenir éveillé, qui l'avait aidé et sauvé. Elle était très surprise de savoir que cet homme était resté jusqu'au bout, jusqu'à l'hôpital et jusqu'à son réveil auprès d'elle. Qui était-il? Pour l'instant elle ne pouvait mettre ni nom ni visage sur cette voix. «Excusez moi?» Essaya-t-elle d'articuler à l'encontre des médecins, de cet homme se trouvant juste devant sa porte.
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Style Ainsi le médecin m’explique la situation. Je sais pertinemment qu’elle va rester en convalescence ici le temps qu’elle reprenne du poil de la bête. Je ne suis pas idiot. Je comprends totalement qu’il va falloir qu’elle fasse le moins d’efforts possible dès son réveil et qu’elle reste coucher. Je roule inconsciemment les yeux en soupirant. Je ne suis pas aussi con pour pouvoir me lancer vers cette nana uniquement parce qu’elle bat des cils. Il continue de faire son monologue. Je comprends tout ce qu’il pouvait me sortir car j’ai été dans le même cas que cette demoiselle. J’ai bien fait d’avoir intervenu et d’avoir tenu sa tête comme ça elle n’avait plus ou moins de séquelles à long terme. Cela dit, elle a une commotion cérébrale, ce qui me ne surprend pas. Vu l’impact et l’état de la voiture, je suis encore étonné qu’elle soit encore en vie et tout de même en bonne état. Disons que sa bagnole n’a pas eu la même histoire. Une perte totale. Concernant l’homme ivre ? Quel homme ivre ? Ah, le mec qui était dans l’autre véhicule ? Disons que son temps est compté. On ne doit pas abuser de l’alcool, on ne doit pas mettre la vie des autres en danger. Je dis cela comme ça car j’ai été présent. Qui vous dit que cela aurait pu être un de mes ennemis qui me visait justement ?
J’hoche la tête et je remercie vite fait le médecin avant de pouvoir rentrer dans la chambre. Pourquoi je suis auprès d’elle au lieu de gérer mes affaires bien tranquilles ? Pourquoi je perds mon temps ? Je ne sais pas, en fait, je crois que ça me permet de faire une pause dans cette histoire de gang de rue qui me met des bâtons dans les pattes. Je ne me plains pas, mais par moment, j’aime bien penser à autre chose. Tout comme cette demoiselle qui dort inconsciemment des événements qui se produisent autour d’elle. Elle est si unique, un œuvre d’art que je voudrais peaufiner, terminer. Allant vers son chevet, je lui retire une mèche de cheveux de son front pour lui dégager son visage. Son magnifique minois marqué par son accident, je continue de la contempler en laissant aller mes pensées. J’ai une envie soudaine de peindre. Coucher ainsi, entourant de fleurs comme une blanche-neige. Un rictus s’affiche sur mon visage. Une blanche-neige que je me taperais bien sans hésiter après l’avoir embrassé. Je ne suis pas un prince qui va la prendre dans ses bras et la transporter au château. Pas du tout. Je suis en quelques sortes le méchant dans les comptes de fées. Un compte que majoritairement les méchants sortent victorieux contrairement aux gentils. Ce sont habituellement ces derniers qui disparaissent en premier. Je suis bien curieux de savoir si la douce sous mes yeux est une coquine ou bien une sage petite fleur.
Je vois ses yeux qui papillonnent. Je suis surpris qu’elle se réveille déjà. Je voudrais bien m’accroupir, mais mes chevilles ne me le permettent pas. Du fait, je reste debout tout en lâchant son visage que je continuais de caresser. « Ivy... » Son prénom si mélodieuse qui sort de mes lippes. Je souris légèrement faisant apparaître mes fossettes. Le médecin m’a dit son prénom alors que je n’avais rien demandé. En fait, il croit que nous sommes ensemble. Ce n’est pas du tout le cas, je ne suis aucunement son amant non plus. Elle s’excuse qui semble être difficile à prononcer. Je rigole légèrement avant de tirer une chaise pour venir m’asseoir auprès d’elle. Serrant ma mâchoire lorsque c’est le temps de m’assoir, je la regarde avec intérêt. « Prends ton temps pour te réveiller. » lui suggérais-je avant de me caler dans mon dossier de mon siège. Je regarde ma montre pour vérifier l’heure avant de reporter mon attention vers elle. « Comment te sens-tu ? » demandais-je en lui souriant.
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Style La tête, l'esprit totalement embrumé et des douleurs saisissantes partout dans le corps faisait atrocement souffrir la demoiselle. Elle ne savait plus trop ce qui c'était passé ni même comment elle avait fait pour en arriver là. Avait-elle causer un accident? Y avait-il des blessés, des morts? Elle espérait que non.... Pitié faites qu'elle soit la seule blessée si c'est elle qui a causer cet accident. Commençant à se réveiller doucement elle vit un premier temps deux hommes discuter au loin puis sombra à nouveau jusqu'à ouvrir complètement les yeux. Un homme, un jeune homme très séduisant se trouvait auprès d'elle et visiblement il l'a connaissait vu qu'il venait de prononcer son nom. Mais qu était-il? Etait-il son sauveur? Ce qu'elle était sûr à 1000% c'est qu'elle l'avait déjà rencontrer auparavant mais où telle était la question.
Essayant tant bien que mal de se redresser elle observait tout ce qui se trouvait autour d'elle. En croisant le regard de cet homme elle lui souria tant bien que mal. Comment elle se sentait? Elle ne savait pas trop elle était très confuse. «J'ai mal absolument partout et je me souviens de rien» Elle stoppa, essayant de se remémorer les dernière 24heures, en vain. «Est-ce ma faute? Y a-t-il des blessé par ma faute?» Le timbre de sa voix était tremblant, elle était réellement inquiète d'avoir mis en danger la vie d'autrui. Elle planta à nouveau son regard dans celui du jeune homme. «Vous...Tu m'as aidé je ne me trompe pas?» Sa voix elle la reconnaissait, c'était bel et bien lui qu'elle avait entendu avant de sombrer avant cet immense trou noir. «Merci..» Oh ça oui elle lui était reconnaissante de tout ce qu'il avait pu faire pour elle. Ce qui était sur c'est que d'elle réussirai à sortir de l'hôpital elle le remerciera comme il se doit même si ce ne sera jamais suffisant pour lui avoir sauvé la vie.
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Style Ivy, un prénom qui résonne dans ma tête dès que je l’avais entendu. Ivy, si mielleux, si magnifique, si exotique qui lui va à ravir. Cette douce que je contemple pendant qu’elle est inconsciente. Elle a de ses lèvres qui exigent des fantasmes. Son corps, je n’ai pas su la détailler, mais j’imagine qu’elle a un corps de déesse puisqu’elle l’est. Une divinité blasphémée par l’homme dû à une tentation qu’est la boisson alcoolisée. Ivy, je la verrai bien en peinture. Cette femme, couchée, pendant que je la peins pour la rendre inoubliable, la rendre encore plus magnifique. Dessiner ses traits, peindre ses courbes, l’embrasser et vaguer à mes pensées érotiques. Cette toute belle. Comment ne pas passer à côté d’elle ? Comment ne pas retourner la tête dès qu’elle passe ? Comment l’ai-je fait pour ne pas la remarquer plus tôt ? Tout simplement que j’étais là au mauvais endroit au mauvais moment lorsqu’elle s’affichait en public. Je pourrais la regarder, je pourrais l’observer toute la journée à son chevet. Toutefois, je n’ai pas attendu très longtemps que je vois ses pupilles qui s’ouvrent difficilement. Je comprends totalement, l’éclairage est pourri à l’hôpital. J’aurais pu l’apporter chez moi et demander à un de mes hommes de la soigner, mais je n’aimerais mieux pas. Après tout, elle aurait pu prétendre à un kidnapping, malgré que l’idée m’effleurait l’esprit.
Assise près d’elle, je tente de l’aider à se redresser, même si l’idée qu’elle reste coucher est conseillée. Cependant, elle mentionne le fait qu’elle ne se souvient de rien. Tant mieux pour elle, car cette histoire est terminée tristement pour l’homme en état d’ivresse. Il n’y a plus rien à se souvenir dorénavant. Un souvenir, un cauchemar qu’elle fera, mais sans jamais réaliser que c’est la réalité. Cette douce ivy est encore sous le choc dû à l’accident, je comprends totalement, mais il ne faut pas qu’elle se rappelle. D’ailleurs, il faudrait qu’elle recommence à conduire aussi vite que possible pour ne pas avoir des peurs plus tard. Je l’avais expérimenté autrefois. Un incident de voiture qui m’avait coûté des tendons d'Achilles sectionnés et un mariage oublié. Justement, il va falloir que je retrouve ce coupable le plus rapidement possible pour pouvoir finalement être en paix et tourner la page. Cela dit comment ? Est-ce qu’il est disparu ? Pas tout à fait, je le suis discrètement à la trace, sauf que j’attends le moment propice pour lui rendre la monnaie de sa pièce, mais aussi qu’il arrête de me glisser entre les doigts dès que le moment devient opportun. Sa mélodieuse voix tremblante vient à mes oreilles qui m’a ramené à l’ordre. Je penche ma tête sur le côté en me questionnant si elle avait parlé plus tôt ou je n’avais rien perdu. J’hausse légèrement les épaules avant de me gratter la gorge. « C’est pas de ta faute, ma belle, mais la faute de l’homme qui a brûlé son feu rouge. » fis-je doucement en pestant un peu avant de reprendre contenance. Je ne veux pas qu’elle sache que je suis en quelque sorte colérique et que je me venge très rapidement, au centuple également.
Je souris davantage quand elle se rappelle de moi. Un parrain de la mafia qui sauve des gens ? Ça ne semble pas absurde d’une certaine manière ? Une demoiselle en détresse interpellait inconsciemment de l’aide, donc j’avais couru vers elle. Cela dit, il va falloir qu’elle me rembourse d’une certaine manière. Après tout, c’est donnant-donnant. Je donne de mon temps, il faut que ça soit pareil entre les deux parties. Je ne suis pas généreux, mais profiteur et avare. J’hoche de la tête en guise de réponse concernant son remerciement. Qu’est-ce que je pourrais lui demander en retour ? De nombreuses idées s’entassent à ma tête, mais il faut que je reste concentrer pour la toute belle. « J’avais pas d’autres choix d’aller te secourir après tout, il t’a salement amoché. » dis-je en lui retirant du bout des doigts une mèche de cheveux qui gâchait la belle vue de son visage. « Pense plus à cette histoire, c’est du passé désormais. Tu es davantage ravissante quand tu souris. » Un compliment que je lui ai fait en même temps de replacer le bracelet sur son poignet pour qu’il soit confortable pour elle.
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Style Ce visage qui se dessine devant elle est magnifique digne d'un dieu grecque, noon même plus beau. Un visage si parfait, si charmeur et enchanteur. C'est sûr que cet homme doit avoir une horde de prétendante lui courant derrière. Elle était assez chanceuse d'avoir été secouru par un aussi charmant jeune homme mais elle s'en voulait de l'avoir embêter et d'avoir perturber ses occupations. En plusd'être charmant il était gentleman et l'aider à s'installer. La faute de l'autre homme? Est-il sérieux? Elle se sentait soulager mais son inquiétude était toujours là, elle espérait réellement n'avoir blessée personne avec sa voiture... «Mais...Tu es sûre que personne d'autre n'a été blessé par ma faute?» Elle posa sa main sur son front, elle avait une grosse douleur au crâne qui venait tambouriner sur son cerveau.
Comment oublier de tel yeux, elle s'en souvient comme si elle avait pris une photographie. Elle comptait bien le remercierait comme il se devait après tout il avait tout abandonné pour la sauver elle. Elle sourit en entendant les dires du jeune homme même s'il n'était réellement pas obligé de tout abandonner pour aller l'aider. Cependant très vite elle sentit ses joues rosir et se réchauffer au compliment de l'homme. Elle qui d'habitude était si confiante, si sûr d'elle là elle se sentait toute chose en entendant ce compliment. Cela devait sûrement être les médicament songea-t-elle. Et elle ne put s'empêcher de le taquiner. «Arrête ton charme, je suis sûr que tu sors ça à toute les jolies filles qui croisent ton chemin! En plus tu dois en voir un paquet avec un tel physique d'Apollon! » Elle ria de bon coeur avant de grimacer. Une immense douleur se fit ressentir aux côtes, elle se douta qu'elle devait en avoir de casser. «Est-ce que tu sais quand je peux sortir? » Même si la jeune femme travailler dans un laboratoire elle préférée être de l'autre côté et ne pas être la patiente. Elle avait une sainte horreur des hôpitaux, comique non? «D'ailleurs, comment je peux te remercier de tout ce que tu as fait pour moi?» Dit-elle avait un regard et un sourire très charmeur.
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Style ~ Trait pour trait que je tente de le mémoriser dans ma mémoire. Dès que j’arrive chez moi, je sors une toile vierge et je commence à dessiner son visage. Je me vois avec le crayon à la main, crayonné grossièrement avant de sortir ma peinture. Une peau si magnifique j’enlèverai avec plaisir ses marques de l’accident pour la rendre davantage parfaite de ce qu’elle est actuellement. Je me vois peinturer, elle, sur mon tableau et qu’elle devient mon chef d’oeuvre. Ses pulpeuses d’une teinte rosée qui me donne envie d’y goûter au point que je me demande ce qu’elles goûtent actuellement. Normalement, c’est au fer qu’il a osé toucher ses lèvres, mais je me fiche. Je voudrais presser ma bouche contre la sienne et lui montrer mon septième ciel. Je voudrais terriblement repousser ses cheveux et de glisser lippes sur sa pommette, sa mâchoire, descendant près de sa jugulaire pour lui laisser mon territoire avant de continuer sur sa clavicule et lui dévêtir l’épaule. Avoir des mains baladeuses sur ses courbes impeccables que je n’avais pas eu la peine de malaxer pour déterminer sa mensuration. J’imagine bien ses melons bien ajustés à mes paumes et de se faire masser. Je m’étire le cou en fermant les yeux pour tenter de me contenir avant que l’excitation montre trop rapidement. Avant que mon regard devienne brûlant et défile sur tout son corps. Me calmer avant que je profite de sa vulnérabilité. Respirant tranquillement un bon coup, je reprends une mentalité tout à fait adéquate en tentant de ne pas aller dans la perversité.
Je secoue négativement la tête concernant les blessés de l’accident. Heureusement qu’il n’y en pas eu. Bon, s’il en avait, je n’étais pas au courant parce que je m’occupais uniquement de la toute belle auprès de moi. Si jamais il avait d’autres femmes, la déesse a su capturer mon attention pour que je puisse uniquement focusser sur elle. Qu’elle ait un certain mérite que mon regard n’a pas dévié sur les coquines infirmières qui savaient bien rouler leur postérieur. Certes, je reste néanmoins un homme, mais je n’avais rien fait. Je restais bien sagement assis sur le sofa un peu plus loin dans la chambre, mon téléphone à la main. Je levais mes yeux pour contempler après je retournais mon attention sur les sms que je recevais de mes prostituées qui se plaignaient de tout et de rien. Ensuite il y a eu un appel concernant le mec qui avait brûlé son feu rouge, mais comment dire.. ? C’était de l’histoire ancienne désormais. Nous devons arrêter de parler de ce déchet humain. Ainsi blesser une divine créature, c’est un sacrilège et il méritait toutes les punitions du monde incluant ; un malencontreusement accident qui l’a fait par hasard perdre sa vie. C’était tout ce qu’il méritait après tout, il ne savait aucunement boire. Il faut savoir nos limites avant de commettre l’irréparable. Je connais quelque chose à ce sujet surtout quand j’avais perdu ma bien-aimée à l’époque. Dorénavant son visage n’est plus qu’un flou souvenir. Son fessier que j’appréciais à fesser n’est plus qu’un vague souvenir qui disparaît avec les années.
Doucement, mes fossettes apparaissent quand elle commence à rigoler et à taquiner. Voilà, une personnalité fringante. Je ne m’y attendais pas à ce revirement. Si blessée, elle est comme ça, je suis bien curieux de savoir comment elle est en parfaite santé. Je dis cela à toutes les femmes ? Uniquement les femmes qui ont le privilège d’attirer mon attention au point que je ne dévie pas de ma trajectoire. À temps normal, j’aurais bien baiser cette infirmière qui roulait son cul de manière aguichante devant moi. Je l’aurais fait. Elle a l’air bonne. Cela dit, je m’étais surpris de ne pas ressentir un quelconque excitement dans le bas ventre contrairement à ma Ivy à mes côtés. Ma ivy ? Oh, oui je la ferai mienne assez rapidement. Que personne ne la touche, que personne ne la consume. Que personne n’ose l’embrasser sans avoir de mes représailles. Je veux la goûter, l’explorer comme quand on ouvre une boite de trésor. La toute belle en est un trésor, et je veux savoir ce qu’il contient à l’intérieur. Des pierres précieuses ? De l’or ? Des bijoux ? Ou tout simplement des métaux d’aucune valeur ? Je vote pour les premières réponses en oubliant la dernière si je peux en juger de ce que j’aime dans ma vision d’elle. « Corps d’apollon ?» fis-je en souriant davantage. « Tu es bien La plus merveilleuse des muses que j’ai croisé. Je complimente jamais les gens avec autant de facilité sauf quand c’est une évidence et tu l’es.» Une vérité légèrement mensongère, car la première muse que j’avais croisé auparavant était ma fiancée qui s’était faite tuer lorsque nous allions nous marier. Donc oui, Ivy est rendue l’unique muse. Les autres femmes étant seulement des torchons à jeter ou bien juste des en-cas prêts sur le pouce avant de disparaître à tout jamais. Les filles faciles sont si ennuyeuses.
Je me lève de mon siège afin de contourner le lit pour me diriger vers le petit bouton pour quémander le médecin. Je grimaçais légèrement à sa question en rapport avec sa sortie. Honnêtement, je ne pensais pas rester à son chevet aussi longtemps et même jusqu’à son réveil, donc je n’ai pas du tout demandé. En fait, j’ai carrément hormis ce détail fondamental. Pressant le bouton-d'aide, je m’assois sur le lit en faisant attention pour ne pas la blesser ou bien même, je la frôle à peine pour qu’elle sente la chaleur que mon corps dégage. Oui, il fait chaud dans cette chambre. « Ta sortie, le médecin ne l’a pas mentionné. Peut-être quand tu auras suffisamment récupéré et suivi d’un nombre incalculable de test. » Je fais une hypothèse qui peut être totalement véridique. Je ne suis pas assez calé dans la médecine pour pouvoir l’aider. Puis elle me demande ce qu’elle peut faire pour me remercier. J’arque un sourcil avant de sourire moqueusement. « J’ai pas fait énormément de choses, en toute franchise. » Je glisse mon regard vers sa main qui semble si douce. Tranquillement, je glisse mes doigts dans sa paume pour la saisir et la soulever. Je conduis sa main vers mes lèvres et tout en ancrant mes yeux sombres dans les siens, je lui dis d’un ton séducteur ; « Quand tu seras remise, ma toute belle, j’aimerais t’inviter à diner à un restaurant, qu’est-ce que tu en dis ? » Je dépose mes lippes vers ses jointures avant de déposer ses doigts sur son lit. Je me lève du matelas pour laisser la place à l’infirmière qui arrivait justement. « Elle souffre. » fis-je plus durement à cette nana qui semble rougir à ma présence, mais je m’en fiche. Celle qui occupe toutes mes pensées les plus obscènes a mal rien qu’en riant, et je n’aime pas du tout, loin de là.
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Style La jeune femme était très intriguée par l'homme se tenant auprès d'elle que ce soit par rapport à son attitude envers elle et sa présence ici à ses côtés. Elle était très touchée de toute l'attention que ce dernier lui porte mais elle était également méfiante. Eh oui la jeune femme reste toujours méfiante de la gentillesse des personnes puisqu' à part Shigure et ses deux meilleures amies elle n'a jamais eu le droit à tant de gentillesse de la part d'autrui. Bien au contraire depis sa plus tendre enfance elle a du se débrouiller seule, sans personne, sans amour et sans aide. Elle a souvent été le souffre douleur des gens. Elle se demandait s'il n'était pas ainsi parce qu'il désire quelque chose en retour d'elle. Elle reste méfiante mais ne se montre pas méchante bien au contraire.
Le sourire qu'il lui lance est très charmeur, la jeune femme apprécie grandement la beauté de cet homme. Qui ne serait pas flatté de susciter un intérêt d'un tel homme. Elle était séductrice, elle le savait mais malgré tout elle avait envie de se laisser aller même dans un état pareil et à l'hôpital. Cependant il ne faut pas qu'il croit que c'est une femme facile bien au contraire. Un sourire en coin se dessina sur les lèvres de la jeune femme en entendant les dires de l'homme. «Mais quel beau parleur! Je suis sûr que tu sors cela à beaucoup de femme! » Elle le taquinait et elle aimait ça! Eh oui elle avait une sacré poigne et un sale caractère mais c'était elle, ce qui la caractérisé.
Il était réellement au petit soin pour elle, c'était vraiment touchant malgré tout. Peu de personne ne ferait cela et cela déstabilisé un peu la jeune femme. Elle n'avait vraiment pas l'habitude de ce genre d'attention. «Dommage....J'aimerai pouvoir sortir dès maintenant!» Oh ça oui, si cela ne tenait qu'à elle elle serait déjà en train de se diriger vers la sortie. «De plus, vas falloir attendre pour que je puisse te remercier comme il se doit, dommage.» Dit-il en ne lâchant pas l'homme du regard. «Je me prénomme Ivy mais ça tu dois déjà le savoir!» Elle ria légèrement. «Quel est le doux prénom de mon sauveur?» Elle lui lança un petit clin d'oeil. Ivy fut assez surprise du geste de l'homme, encore une fois. Un vrai gentleman. Il lui fit un baise main. Étonnant. Vraiment. Elle lui sourit. «Avec plaisir mais c'est moi qui t'invite! Je dois te remercier pour tout ce que tu as fait pour moi!» Elle accepte avec grand plaisir. Bien entendu qu'elle ne peut refuser!
Une infirmière arrive et Ivy la voit dévisager sexuellement l'homme se trouvant dans la pièce. Elle fut assez choquée de cela, si cet homme aurait été son mari, son frère ou autre cela ne se fait pas. Elle se demandait si cette infirmière faisait ça souvent de dévisager ainsi les hommes qu'elle trouvait séduisant. Ce genre de femme elle les trouvait détestable. «Quand est-ce que je peux sortir ? Puis-je voir mon médecin s'il vous plait?» Ivy était froide et sèche. Elle voulait lui montrer que cela ne faisait pas de draguer ouvertement les hommes devant leur femme ou autre même si l'homme n'était pas avec elle personne à part eux ne le savait.
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Style ~ Beau parleur ? Bien évidemment. Je ne serai pas l’actuel baron de la mafia coréenne à gérer les prostituées que j’ai à mon service. Je ne serai pas l’homme qui drague la gente féminine qui a besoin d’aide monétaire avant de leur proposer un emploi enclin à m’enrichir. Je ne serai pas un bon patron si je n’essayais pas mes futurs employées et qu’elles n’étaient pas autant bonne. Beau parleur, dire des petits mots doux tout en chuchotant c’est d’une facilité parfois lassante et encore plus déconcertante lorsqu’elles sont davantage faciles. Une femme qui a du caractère, qui résiste de plus belle, c’est ça qu’on appelle le jeu de la séduction. Flatter dans le sens du poil, la complimenter sans arrêt, être un gentleman et être au petit soin auprès d’elles. C’est ce qui fait en sorte que peu à peu ou bien rapidement les femelles tombent une à une dans mes bras. Au plus coquines jusqu’aux plus coriaces. Les infirmières qui sont ici sont la plupart du temps celles qui veulent absolument trouver l’amour et sentir des bras virils autour d’elle dès l’occasion se présente. Ivy semble, un tantinet, plus résistante à mes charmes, mais cela reste avant tout ma première impression. Pour le moment, elle ne tombe pas dans mes bras dès que j’ouvre la bouche, c’est quelque chose qui la rend encore plus intéressante. Donc, je suis un beau parleur ? Uniquement envers mes trophées de chasse et elle en fait partie, cette divinité est même celle qui est accrochée à l’extrémité, un trophée que tu veux absolument montrer à tout le monde et t’en vanter. Je la vois bien accrocher à mon bras, vêtue d’une ravissante robe qui épouse ses majestueuses courbes. La dévorant du regard avant de pouvoir la déchirer sur elle et de vouloir faire mienne. Peinturer tous ses traits pour me remémorer qu’elle est aussi magnifique pour être un œuvre d’art qui perdurerait avec le temps.
« Non, pas toutes, uniquement aux plus belles. » fis-je moqueusement avant de lui faire un clin d’oeil. Je commence davantage à m’amuser avec elle. Que cette muse continue de sourire, de rigoler, de taquiner si ça lui chante. Tant qu’elle soit vivante et pleine de vie pour que je puisse continuer à la draguer. Dans un sens, c’est un jeu dangereux dans lequel que je joue volontiers. Je peux totalement tomber amoureux d’elle comme vice versa. Personnellement, depuis la mort de ma fiancée, je n’ai pas retombé amoureux depuis. Ne trouvant pas la perle rare, ne trouvant plus la petite étincelle qui m’avait autant marqué et ancré dans mon cœur auparavant. Par moment, cela me manque de ressentir quelque chose de semblable. Bien souvent je batifole de fille en fille dans mon lit pour trouver quelque chose qui se ressemble avant d’abandonner me disant que jamais aucune nana puisse rallumer la flamme. D’une certaine manière, je suis maudit. Je fais partie intégralement dans la vie de la mafia, je suis même à la tête, donc je me vois mal d’être tranquille et d’avoir une femme et des enfants malgré que j’avais essayé autrefois. Je me contente d’accumuler les nuits d’un soir et de le jeter par la suite du revers de la main en attendant ce grand jour d’une certaine crainte que l’histoire se reproduise encore une fois. D’ailleurs, est-ce un signe de voir ma belle déesse avoir un accident de voiture ? Je fronce légèrement les sourcils sur cette pensée et le hasard fait bien des choses en y pensant bien. Trop de coïncidences pour que je puisse me douter de quelque chose ? Non, pas assez pour que je méfie réellement de tout cela.
Revenant parmi les vivants, j’esquisse encore une fois un sourire en rapport le fait que je dois attendre pour recevoir mes remerciements venant de sa part. Si elle savait que je me fichais totalement d’attendre des années et des années avant qu’elle puisse me remercier convenablement. De toute façon, je finirai par la retrouver et de vouloir recevoir mon dû. Mon dû ? Je voudrais bien goûter à bien plus que ses jointures de cette main si douce. Je voudrais bien plus goûter ses pulpeuses ainsi que sa peau de crème. Je me lèche imaginairement les lèvres en y réfléchissant à cette scène. Mon côté pervers commence à monter de façon alarmante. Je voudrais bien toucher, effleurer son épiderme et montrer à sa zone érogène. Je voudrais bien la dévêtir et la contempler de manière charmeuse. J’aimerais bien, sauf que la situation ne me permet pas. Elle est cloitrée dans le lit pour un temps indéterminé que je n’ai pas pu m’informer adéquatement et d’ailleurs ; ne brûlons pas les étapes. « Jinwoo, enchanté ma belle Ivy. » Je réceptionne avec plaisir son clin d’oeil taquin. Je ne dirais pas non à ce geste qui semble futile, mais pour ma part ; c’est une petite victoire. Petit à petit, je vais l’amadouer comme il se doit et elle va être à genou devant moi. Cela dit, je fais signe de la tête quand elle mentionne que ça serait elle qui inviterait. Évidemment que je ne la laisserai pas faire, malgré que je pourrais suivre mon côté avare et la laisser payer, cela ne me dérange aucunement pas.
Elle est jalouse dit-donc. Elle est de plus en plus intéressante. Une petite infirmière de pacotille – bien foutu – et voilà qu’elle parle de façon dure et sèche. J’arque un sourcil en contournant la demoiselle qui semble de trop avant de m’installer auprès de ma nouvelle proie. Sur le sofa que j’approche volontiers, je m’installe confortablement près d’elle. Cela n’a pas fait long feu avant que l’infirmière lui toise du regard avant de retourner les talons pour chercher le médecin. « Tu es bien plus magnifique avec un sourire cela dit, malgré que j’aime ton ton sec et froid également. » fis-je en prenant mon portable avant de décliner l’appel pour retourner mon attention vers la magnifique. Je suis occupé. Je dois me concentrer vers ma future déesse de mes toiles. Avant toute chose, je vois un homme arrivé avec son sarrau. Le médecin de tout à l’heure qui fait son apparition. Je lui fais signe de la tête avant de me lever et de me pencher vers elle, mon téléphone ne cesse de sonner cela semble plus urgent que je le croyais. « Ivy, je te laisse avec le médecin, j’ai un appel urgent que je dois prendre, je reviens vite. » quelques doigts ont trouvé le chemin vers sa mèche de cheveux avant de le remettre derrière son oreille. Lui faisant un clin d’oeil, je quitte la chambre pour prendre l’appel. Comme ça, cela va leur laisser le temps de tout expliquer et surtout de révéler quand elle sortira. Après l’appel, je soupire un grand coup. Décidément, que des abrutis dans mon entourage. Sauf que je reprends vite contenance quand je vois le médecin quitter. Je rentre aussitôt dans la chambre pour ensuite reprendre possession du siège auprès d’elle. « Et puis, il t’a dit pour ta sortie ? » Je suis aussi impatient qu’elle pour pouvoir nous rencontrer en bon et du forme au lieu de la chambre d’hôpital.
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Style Un certain jeux de séduction commence à se faire entre Ivy et Jinwoo. Ivy sait ce qu'elle veut, à une certaine confiance en soi mais lorsque l'on parle d'amour c'était tout autre. En effet, elle n'avait jamais réellement aimé et surtout été aimé comme elle le méritait. La confiance elle avait tellement de mal à l'accorder de part son passé, de part son abandon. La plupart du temps, la jeune femme connaissait des histoires sans lendemain, se lassant bien trop vite de la non intelligence des ces hommes qui essayaient de la draguer mais aussi elle n'avait jamais eu ce feeling, cette sensation qui se fait dans le ventre, les papillons signifiant que c'est cette personne et pas une autre. Bien entendu, sans réellement le montrer, elle se laissait avec plaisir charmer par son sauveur. Elle en oublierai presque la douleur et le fait qu'elle soit à l'hôpital. Un sourire en coin se dessina sur ses lippes et un de ses sourcils se leva en entendant le compliment détourné du charmant. Un simple Hmm se fit retentir en guise de réponse.
La jeune femme, se surprenait elle même d'être à l'aise et même d'aimer la présence du charmant auprès d'elle. C'était bien rare pour elle de ressentir une telle chose. En effet, que ce soit homme ou femme peu de personnes ne trouvaient grâce à ses yeux et elle était entourée de très peu de monde. Seul Shigure, Hwanmin et In Na pouvaient prétendre être proche d'elle. Mais avec Jinwoo elle se sentait bien. Elle se sentait presque apaiser, c'était assez étrange puisqu'elle n'avait jamais ressentie cela surtout pour une personne qu'elle venait tout juste de connaitre. Malgré tout c'était un agréable ressentiment. Les yeux pleins de malices, tout comme le sourire, elle plantait son regard dans celui du charmant. «Quel charmant prénom qui te va à ravir!» Dit-il assez suavement.
Leur petit échange est très vite interrompu par la présence de l'infirmière. De nature assez protectrice, presque possessive, elle détestait ce genre d'attitude. Les dires du jeune homme la fit revenir sur terre et la fit sourire. «Ravie d'entendre que mes deux côtés te plaise alors!» Lança t elle avec un clin d'oeil et en lui susurrant à l'oreille. Tout en observant hautainement et en fusillant du regard l'infirmière. Eh oui, personne ne marche sur ses plats de bande. D'autant plus, que même si elle n'en a pas l'air, elle peut se montrer très cruelle et tuer ne l'effrayer absolument pas, surtout lorsqu'on connait son métier.
Fort heureusement pour l'infirmière, le médecin arrive alors afin de discuter un peu avec l'intéressée. Posant la main sur la joue de Jinwoo elle lui offrit un beau sourire et acquiesça ses dires. Ivy discuta 10 bonnes minutes avec le médecin, essayant tant bien que mal de le convaincre de la laisser sortir, même maintenant. Lui expliquant qu'elle était médecin dans un autre domaine certes mais elle connaissait le monde médicale et qu'elle respecterait toutes les conditions pour sa sortie. De plus, elle s'engageait également qu'elle ferait faire ses soins par un très bon médecin et qu'elle se reposera bien chez elle. Grâce à tout cela, le médecin à contre cœur accepta. A peine Jinwoo entra à nouveau dans la pièce le visage d'Ivy s'illumina. «Oui je l'ai convaincue de me laisser sortir maintenant!» Un grand sourire ancré aux lèvres. «Je ne supporte pas me retrouver de l'autre côté et être une patiente!» Dit elle en se leva doucement, même si elle grimaça un peu de douleur. «e vais pouvoir régler ma dette plus vite que prévue» dit-elle en lui lançant un petit clin d'oeil.
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Style ~ Des abrutis, mes hommes de mains le sont de plus en plus et c’est ce qui me déçoit le plus haut point. Je ne peux pas être tranquille pendant un moment, le temps de petit rencard ou le temps d’une séance de partie de jambe en l’air pour me consacrer corps et âme à mon métier ? Suis-je con pour dire cela ? Évidemment. Être parrain de la mafia c’est quasiment détruire ta vie personnelle pour la criminalité. Je pourrais avoir un bras droit et lui donner davantage de responsabilité contrairement à d’autre. Par contre, c’est de jouer avec le feu. Je me méfie également de mes hommes. J’ai déjà eu des taupes – et cela me fait extrêmement chier – surtout quand ils glissent entre mes doigts, mais le mal est déjà fait quand je les retrouve. C’est le risque de mon monde de pègre. La drogue et la prostitution étant mes domaines et beaucoup tente d’avoir mon territoire pour mettre le grappin dessus le pouvoir que j’ai. Être davantage intimidant que je le suis. Sans pitié et monétairement puissant. S’ils savaient qu’il faut être malin aussi et de s’organiser. Comme quand une mission, pourtant simple, tourne au vinaigre, ce n’est pas du tout plaisant. Il faut redoubler d’efforts pour cacher tout cela. Ou bien me faire appeler comme quoi que la personne que je cherchais depuis un moment ; elle est morte. Du gaspillage de temps. D’où le pourquoi j’ai soupiré avant de croiser le médecin à l’extérieur de la chambre. L’appel a duré un peu plus longtemps, mais le médecin a l’air peu convaincu. Je fronce légèrement les sourcils me disant que c’est peut-être une mauvaise nouvelle, me disant qu’elle s’est obstinée pour vouloir s’en aller ? Après tout, personne ne souhaite rester de manière indéterminée dans un hôpital.
Pourtant, son visage est resplendissant ce qui m’a fait certainement sourire quand je me suis installé. Magnifique comme une fleur qui s’épanouit dès les premières lueurs du soleil. D’ailleurs, mon postérieur n’était pas officiellement reposé que je me suis levé immédiatement lorsqu’Ivy mentionne qu’elle pouvait quitter toute suite. Étrange. La toute belle a quand même eu un accident assez important et la laisser sortir ne semble pas un peu imprudent ? J’arque un sourcil non convaincu sur cette pensée. Voilà pourquoi le médecin ne semble pas si content de la laisser partir. Ils n’ont pas fait de test, ils n’ont pas conclu que tout allait bien. Elle aurait pu faire au moins les derniers tests pour vérifier qu’elle est en santé avant de quitter, non ? Je m’en fiche un peu, c’est sa décision après tout. Pour ma part, je suis content qu’elle puisse quitter, comme ça je pourrais la voir dans un autre cadre que l’hôpital. Je fais le tour du lit où qu’elle a l’intention de sortir pour aller l’intercepter, sauf qu’elle mentionne un truc qui m’a fait tiquer. Elle est donc médecin ? Intéressant. « Tu travailles dans le métier de la santé ? » demandais-je en lui saisissant délicatement les épaules pour la retenir. Pourquoi elle se lève si brusquement ? Décidément cette femme est véritablement folle. Tout comme moi lors de mon accident. Mes tendons étaient sectionnés et au lieu de ne pas bouger, tout ce que je voulais étant de sauver ma fiancée. Aussi fou que moi qui pète littéralement un câble envers un homme que je déteste au point de le marteler de coups jusqu’à ce que sa mort s’en suive. Mes jointures ? Ça se soigne sans problème.
« Je sais que tu as hâte, mais ma belle, ça serait sage d’attendre un peu ? » Deviendrais-je si doux envers cette demoiselle ? Deviendrais-je si attentionné ? C’est peut-être dans mon jeu de séduction. D’être aux petits soins avec cette divine créature. Finalement, je lui prends délicatement le menton en affichant un sourire dragueur. Je voudrais qu’elle me regarde dans les yeux, tout comme maintenant. Oui, continue. Je me baisse légèrement pour passer mon bras en arrière de ses genoux alors que l’autre va derrière ses omoplates. « À moins que tu veux que je te transporte jusqu’à chez toi comme ça.» Je ne l’ai pas lâché une seule fois du regard. Toujours en souriant pour la charmer davantage. Je l’ai pris en princesse volontairement même si cela m’a élancé au niveau des mollets. « Par contre, on va devoir prendre le taxi car étant un bon samaritain, j’ai vu tout l’accident je marchais sur le trottoir. » Suis-je tombé pile au bon moment pour Ivy ? Peut-être qui sait ?
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Style Ce médecin était absolument abrutis et ne comprenait pas vraiment ce que la jeune femme lui disait. Elle avait très bien lu son dossier médical se trouvant au pied de son lit et au vue des derniers résultats son état était stable et bien entendu elle était en mesure de pouvoir quitter l'hôpital. Etant du domaine médicale, même si que scientifique et généticienne elle pouvait prendre soin d'elle et savait qu'elle ne pouvait pas faire trop d'effort et elle irait mollo au labo. Mais c'était sans compter sur la ténacité d'Ivy. Elle comptait partir avec ou sans l'accord de ce médecin. Suicidaire? Non non elle avait tout simplement conscience de son état et elle savait que ça irait. Elle était plus forte que ce que ce médecin ne pensait. Elle resterait encore cette nuit en observation si ça l'enchantait mais aux premières lueurs du jours elle rentrerait chez elle. Et c'était sans compter sur les bonnes grâces des dieux puisque le soleil commençait à pointer le bout de son nez sonnant la fin de cette torture.
Le charmant jeune homme revient alors dans la chambre après son coup de fil. Ce sourire qui était dessiné sur ses lèvres ne la quittait pas. Cet homme était totalement à son goût, et avait un tel charme qui émanait de lui. Ivy l'observe faire le tour et s'approcher d'elle. «Oui, je suis généticienne et je travailles pour un laboratoire réputé, donc ce n'est pas quelques égratignure et deux côtes cassées qui vont m'empêcher de rentrer chez moi!» Dit-elle en lui lançant un petit clin d'oeil. «Et qui plus ai, j'ai lu leur compte rendu de mes derniers tests et je vais étonnament bien, c'est pour cela que je trouve inutile de devoir rester ici indéfiniment. » Lança-t-elle en riant.
Une mauvaise idée que de vouloir se lever directement puisque Jinwoo intercepte et bloque son élan. Étrange mais à la fois plaisant. Les mains robustes de cet homme posées sur elle, un frisson parcouru son échine. Elle planta son regard dans celui du charmeur. Si elle écoutait ses émotions, son feeling elle l'embrasserait sur le champ mais elle n'en fit rien. On était dans un hôpital et puis ce n'était pas une femme facile elle n'allait pas se donner à cet homme, aussi charmeur et craquant soit il, aussi facilement. «Ne t'en fais pas très cher, je suis une grande fille! et je suis assez solide!» Murmura-t-elle à son oreille.
Quel fut sa stupeur lorsque ce dernier commança à passer ses bras en dessous de ses jambes et la prit par la taille. Mais qu'est-ce qu'il fabrique pensa-t-elle. Ses yeux interrogateur se posaient sur l'homme. Elle explosa de rire. Il était fou, intrépide et surtout plein de surprise, elle adorait ça. «Ca va pas!»Ria-t-elle. «Pose moi! Je peux marcher tu sais.» Elle continuait de rire. «Ne t'en fais pas un taxi ce sera parfait, et peux-tu réellement me reposer?» Elle était un peu mal à l'aise de cette situation, jamais oh grand jamais elle n'avait eu telle attention. Personne n'avait été au petit soin comme il le faisait à cet instant présent.
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Style ~ Ses épaules si frêles. Sa proximité qui me fascine étonnamment. Son parfum m’hypnotise. Mes yeux rivés sur ses lèvres. Je ne pense à une chose ; d’y goûter. Déposer mes lippes contre les siens pour déterminer quel goût ont hormis le fait qu’ils puissent goûter le fer. Je m’en fiche. Elle semble si fragile de cette façon et pourtant non. Qu’est-ce que je pense ? C’est une femme forte, du caractère. Magnifique, éblouissante. Lui saisir le menton et m’approcher, c’est tout ce que je voulais en réfléchissant à beaucoup de synonyme pour décrire sa beauté. Toutefois, a-t-il un mot qui puisse la décrire ? Sexy ? C’est vrai qu’elle est sexy même avec sa tenue d’hôpital, mon imagine se fait aller pour déterminer ses formes et j’en suis charmé. Une reine ? Elle semble être une reine, mais qui sait peut-être que ça sera éventuellement ? Pourquoi je dis cela ? Elle est mon chef d’oeuvre et je sens que je vais avoir du mal à m’en départir. À la partager avec les autres hommes. Habituellement j’essaie, je me vide les couilles et je passe à autre chose. Sauf avec Hei que c’était plus une relation malsaine vis-à-vis de mon amour du passé. Elle lui ressemblait terriblement d’où le pourquoi je l’avais laissé partir sachant que ça me faisait trop mal. Ivy, la plus belle des plus belles, c’est un joyau. Une perle rare, qui peut-être, que j’aimerais bien l’essayer un peu plus qu’une seule fois. Peut-être. Sauf que je veux la mettre en haut de toutes mes toiles que j’ai pu peinturer. Elle va être la plus grosse. Une telle beauté addictive comme elle, c’est si rare que ça m’ensorcèle.
En lui caressant les épaules. Je suis bien surpris qu’elle soit généticienne. Ainsi une scientifique ; une autre qualité qui se rajoute de sa longue liste. Ça me plaît les femmes qui a du répondant, mais qui a également une tête sur ses épaules. Cela dit, je reste néanmoins celui qui a le dernier mot, c’est ça la contrepartie. J’aime tout contrôler sinon j’ai l’impression de perdre le contrôle. Uniquement les gens de confiance peuvent m’aider à contrôler et il y en a bien peu. Une chance, car une fuite est si vite arrivée. Donc voilà, deux côtes cassées. C’était hors de question qu’elle fasse le moindre effort d’où le pourquoi je l’ai pris en princesse. Elle le mérite, elle l’est. Sauf que j’ignore totalement la phrase qui m’indique qu’elle est correcte. Je me fous de cela. Ma ravissante créature est blessée et je ne veux pas qu’elle se plaint. Après tout, c’est aussi une méthode de séduction si je peux dire. Être aux petits soins de la toute belle. Une carte très forte que je mets en jeu. Combien de carte pourrais-je jouer pour pouvoir la serrer dans mes bras et lui donner de bonnes corrections dans un endroit davantage intime ? Et le murmure qu’elle m’offre à mes oreilles. Putain que l’envie de la garder, la coller contre moi était présent. J’étais à deux doigts de la maintenir contre moi. D'y glisser mon nez de son oreille jusqu’au coin de ses lèvres pour aller les conquérir. La faire mienne en ce moment, ai-je pensé brusquement. Non. Ça ne lui ressemble pas être une femme aussi facile. Chaque femme est différente, c’est peut-être le cas avec elle, qui sait ? Toutefois, le fait qu’elle explose de rire, m’a fait grandement sourire. Les yeux rieurs en lui montrant mes fossettes dû à mon sourire, je vois encore une fois une expression qui m’est alléchante. Qu’elle cesse de m’éblouir car je vais finir par être possessif.
« Je veux pas que tu forces et tu es si légère ça me dérange pas du tout de te tenir comme ça. » fis-je en ancrant mon regard dans le sien. Souriant de plus belle. Sauf que la toute belle désire descendre. Pliant mes jambes, mes mollets qui me tirent, je la dépose délicatement. « Sauf que je te permets pas de marcher, tu es blessée... » chuchotais-je en lui caressant la joue avec le dos de ma main. La tentation devient de plus en plus alarmante. Et dire qu’en ce moment mon pouce effleure à peine ses pulpeuses avant de le retirer. « Attend moi ici, je vais aller te chercher une chaise roulante. Et si tu veux, je pourrais emprunter un veston pour te cacher de la robe d’hôpital. » Je m’éloigne tranquillement d’elle en lui faisant un clin d’oeil. Lui offrant mon sourire moqueur avant de me diriger vers la porte. Ainsi, on pourra quitter la bâtisse et avoir notre rendez-vous au restaurant. Il va falloir qu’elle me donne son numéro de téléphone si je dois la contacter et qu’on se voit selon nos disponibilités.
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